C'est bien connu, si on est trans, c'est qu'on est malheureux. Qu'on déteste notre corps, notre voix, notre nom. Que nos parents nous rejettent, que la dysphorie nous paralyse. Que dès nos 4 ans on savait qu'on était différents. Aujourd'hui j'ai envie de dire : en fait, non. Pas toujours. Bien sûr, la dysphorie peut… Lire la suite Plaidoyer pour une euphorie de genre